mardi 26 août 2008

Lamaneurs, amarrage.......

Samedi, le temps étant un peu clément, nous partons pour une petite ballade en vélo, pas trop longtemps car nous avions des invités le soir pour le dîner (repas Thaï... pour les adultes, c'est trop bon ! si vous passez par là, je vous ferai goûter mon green curry, absolument divin).

Donc pour faire plaisir à tout le monde, nous enfourchons nos bicycles, et nous voilà partis pour la Cité Tabarly (il faut bien un but de promenade !) C'est vrai, j'avais promis de vous en parler...

Au bout de 5 minutes, les muscles souffrent un peu, pourtant nous ne les ménageons pas... Comprends rien ! si encore je restais assise sur mon canapé !

Pascal a bien du mal à tirer le vélo d'Enzo, qui pourtant l'aide comme il peut en pédalant aussi.

Arrivés au Port de pêche, nous apercevons un cargot qui va entrer au Port de commerce.
Nous faisons 1/2 tour car l'amarrage d'une telle masse d'acier ça doit être bien intéressant.
Nous sommes obligés de pédaler comme des forcenés. Malgré ses milliers de tonnes, le navire va plus vite que nous.

Nous assistons donc à l'amarrage du cargot. Imaginez-vous faire un créneau avec un véhicule d'une centaine de mètres.... C'était très intéressant.
Vous connaissiez le métier des lamaneurs : pas moi ! Et le comble, c'est que j'allais pendant des années dans un atelier de peintre, qui était au rez-de-chaussée de la maison des lamaneurs....




L'amarrage est accompli à quai par des lamaneurs, sur le navire par les matelots. Une touline appelée également lance-amarres (cordage fin lesté d'une boule) est d'abord lancée vers le quai, à l'extrémité de laquelle est amarré le cordage lui-même. Une fois le cordage capelé sur une bitte, il est raidi grâce à des treuils guindeaux ou cabestans sur le pont du navire. Pour un navire de grand tonnage, il ne faut pas moins d'une douzaine d'amarres pour le maintenir à quai

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